Christian Cyr croit que le Parti Libéral réussira à séduire les francophones

Christian Cyr affirme qu’il est trop tôt pour affirmer que le Parti libéral du Québec ne fait pas de place au nationalisme francophone.

 

Le président de l’Association de Bonaventure et président pour la région Gaspésie-les-Îles et candidat à la dernière élection était présent au conseil général du Parti libéral, récemment, à Victoriaville.

 

Selon plusieurs observateurs, ce conseil a démontré que la pente pour retrouver l’appui de l’électorat francophone sera ardue à remonter.  Certains militants ont estimé qu’il n'y a pas de place pour ceux qui défendent l'affirmation du Québec au sein du parti alors que le chef Marc Tanguay a plutôt affirmé que les militants plus nationalistes pourront toujours s’exprimer.

 

Si le parti a l’air désordonné, c’est que la révision du programme et des orientations n’est pas encore terminée, souligne Christian Cyr.  Ce plan devrait être présenté au conseil général qui aura lieu en novembre :

 

En ce qui a trait à la cassure avec l’électorat francophone et hors Montréal, Christian Cyr rappelle que son parti a toujours été proche des régions. La charte des régions est toujours en vigueur :

 

Le militant libéral de longue date ne nie pas que son parti traverse une crise, mais il affirme toujours se reconnaitre dans son parti en tant que militant francophone provenant d’une région.